Aussi surprenant que cela puisse paraitre, en France, beaucoup d’organisations n’ont pas des référentiels de qualité et d’autres en ont trop, et souvent imposés par la profession. Dans le cas des industries agroalimentaire ou de la santé, par exemple, ils existent les référentiels de base qui se déclinent en suite en fonction des branches ou des produits, le problème est que les différentes métiers dans une organisation peuvent ne pas avoir les mêmes exigences ni les mêmes besoins en matière de qualité. Appartient alors à chaque métier de chercher son issue et le référentiel le plus adapté à ses besoins.
En dehors du cadre de projets spécifiques, la qualité consiste à satisfaire toutes les exigences des clients, ce qui demande aux entreprises de s’inscrire dans une logique d’Amélioration et Evolution permanente.
Pour satisfaire ces exigences, pour mieux fonctionner, et s’autoévaluer, les organisations sont de plus en plus nombreuses à requérir de la mise en place des systèmes de management performants. Les entreprises privées, contraintes par les marchés, ont beaucoup plus l’habitude de mettre en place des démarches de qualité, alors que les institutions publiques sont généralement à la traine, car la notion d’amélioration continue et de indicateurs par les coûts n’existent quasiment pas.
Il est aussi souvent difficile pour les organisations d’entreprendre une démarche d’amélioration de leurs performances, car il existe sur le marché un grand nombre de normes, de référentiels et de différents organismes de normalisation selon les activités des entreprises.
CS Horizon a mis en place avec un de ses partenaires, la démarche AMELIE PO (Amélioration et Evolution des Performances de l’Organisation), qui s’inscrit dans une logique de progrès continu autour des besoins réels des entreprises.